Alice Kuchiki


Nom ▎Kuchiki.
Prénom ▎Alice.
Âge ▎17 ans, bientôt 18.
Sexe ▎Féminin.
Nationalité ▎Japonaise.
Race ▎Ange.
Groupe ▎Chroniqueuse.
Pouvoir
* Mabayui senkō. Alice possède un pouvoir bien particulier. En son être intérieur Alice possède une force. Une force qui peut être traduit par des sortes d'éclairs rosâtres qui servent de flèches pour son arc. Un arc qui apparait grâce à un diamant littéralement incrusté dans sa peau, généralement caché par un ruban bleu. Son arc ne supporte pas les vrais flèches, si jamais on aurait mis une vraie flèche, celle-ci aurait fondu.


♪Prénom/ pseudo : Lou/Isabelle.
♪Age : 13 ans
♪Un petit mot? Rien, rien =D

Fiche et codage de la fiche entièrement fait pas Isabelle, dont touch sans ma permission, sinon je mords *rire sadique*
Feat Akemi Homura


Physique

Alice est une jeune fille qui n'est pas bien grande, mais vraiment pas grande. En fait non, elle possède une taille normale, pour une femme bien sûr. De toute façon elle grandira encore de quelques centimètres cette année. Elle mesure au alentour d'un mètre soixante-cinq. Tandis que son poids quant à lui est dans la moyenne. Elle n'est pas en sous poids, mais pas non plus en sur poids. Un poids idéal. La couleur de sa peau est d'un blanc laiteux, une couleur crème claire. Ses cheveux sont de couleurs noires, un noir de jais. Ils sont donc noirs et ils tombent au niveau de ses reins tant ils sont longs. En même temps elle ne veut pas les couper. Elle possède une frange en dégrader. Ses yeux sont bleus virant au violet, il brille d'un éclat de malice, car Alice est malicieuse, ce qui, dans un sens, est logique.

Pour son style vestimentaire, Alice n'est pas très chiante, elle met tout le temps la même chose. C'est une sorte d'uniforme de l'école. Qu'elle avait en beaucoup d'exemplaire de ses vêtements et puis donc elle la mit dans sa valise. C'est une jupe courte, mais pas à ras la moule hein, au-dessus des genoux et un haut simple avec un noeud violet.
Mental

Alice est une jeune fille pas très équilibré dans sa tête. On peut même dire qu'elle est perturbée mentalement, elle n'est pas une tueuse psychopathe, mais la mort de son ami. Sachant que c'est une partie d'elle qui la tuait la rend très faible mentalement. Elle essaye tout de même de le caché par ses sourires, des sourires qui en extérieur peuvent paraitre réel, mais qui intérieurement ne le sont pas du tout. Alice préfère gardait ses larmes à l'intérieur plutôt que d'éclater devant tout le monde. Alors, dans un sens on pourrait dire qu'elle est fière. Peut être très légèrement, mais elle l'est tout de même. Ce que l'on peut dire encore, c'est qu'elle est constamment joyeuse. Qu'on lui fasse un croche patte, qu'on l'insulte de tous les noms elle sourira encore et encore, sans rechigné. Pars contre n'allez pas croire que c'est un chien qui fait tous ce que l'on demande. Non, Alice fait ce qu'elle veut, quand elle veut, aux personnes qu'elle veut. Elle haussera certainement un sourcil en vous regardant l'air de dire : vous vous foutez de ma gueule ou vous êtes con ? Mais si elle a envie de faire ça pour vous, elle sourira encore plus bêtement et s'exécutera sans rechigner. Sans contester. En tout cas une chose qui n'est pas contestable c'est le fait qu'Alice est une véritable fouine. Elle est toujours à mettre son nez de partout, chercher le petit détail pour que le journal soit croustillant. Pour que le journal soit 'vendu' en plein d'exemplaire. Ainsi il n'est pas rien le nez dans son calepin de notes à vous torturer avec ses questions qu'elle répertorie dans son fameux calepin (qui est bourré de rature et de faute, accessoirement). Un autre point sur lequel on pourrait parler c'est que la fouine est aussi très extravertie. Elle va voir tout le monde et papote avec tout le monde. Même avec les personnes qui n'aiment pas la compagnie des autres, parce qu'Alice elle a horreur de se retrouver seule. On va même dire que ça plus grande phobie c'est de se retrouver seule, sans personne avec qui parlait. Alice c'est aussi un boute-en-train pas possible. Elle est toujours en train de bouger, comme si une seconde trop tard et elle mourait. Mais dans son caractère il y a aussi une partie sombre, beaucoup moins belle. Plus... méchante. Le côté noir d'Alice dans ça plus belle expression. Sauf que ce caractère se déclenche que lorsqu'Alice a ses ailes, noires, ouverte. Quand ses ailes sont déployés son caractère se change en celui d'une jeune fille dédaigneuse, qui regarde toutes les personnes qu'elle croise comme s'il était plus bas que terre, qu'elle était la meilleure du monde. Littéralement qu'elle pète plus haut que son cul (pour être assez vulgaire). Elle est hautaine et méchante.


Histoire
♠ Chapitre 1
♠ Chapitre 2
♠ Chapitre 3
♠ Chapitre 4
♠ Chapitre 5
La vie commence, pour tous, par un passage absolument obligatoire pour toutes les personnes vivantes sur cette terre. Un passage étroit qui conduit par votre première bouffé d'air. Une bouffée d'air qui vous fait mal par tant de fraicheur, c'est ce qu'on dit, et qui pour la première fois vous fait crier telle une vieille dispute qui n'a ni queue ni tête. Une dispute qui ne sert à rien, mais qui nous défoule tout de même. Un bébé qui cri, tandis que les personnes de l'hôpital le lave doucement tout le liquide que la poche contenait, préalablement on avait, dans certain cas, demander au père de couper le cordon de sang qui n'était pas très beau à voir. Ainsi naquit une nouvelle vie qui va grandir et à son tour procréé une vie et ainsi de suite. Ainsi va la vie. Alors que la petite fille nait, une personne meurt certainement tandis que dans une autre maison des gémissements se font entre, deux personnes essaye de concevoir un bébé. Peut être même que des animaux en pleine nature et dans les zoos font la même chose.

Alors que le bébé était propre le médecin qui était en service posa la jeune fille dans les bras de sa mère, qui la regarda amoureusement. Son petit être à elle était là rien que pour elle et son mari bien sûr. Elle était si heureuse. Pourtant, elle sombra dans l'inconscience, ayant perdu trop de sang pendant l'accouchement. Malheureusement la mère ne se réveillera pas et finira définitivement sa vie chez Morphée peut être passera-t-elle devant le grand roi des morts Seth, peut être existe-t-il ? Peut être aussi n'existe-t-il pas. C'est selon la visions de chacun. Pour certain ils existent pour d'autre non. Le père de la jeune fille choisie le prénom de sa fille seul. Sans sa femme pour l'épauler, plus jamais il ne l'entendrait dire des : chéri je t'aime, mon amour ou d'autre surnom adorable que deux amoureux se disent. Tout deux n'avait même pas eu le temps de conclure leur amour, il avait envisagé le mariage, mais après qu'elle a accouchée. Fin du compte, il n'y aura pas de mariage.
Son père eu un léger problème pour le lait du sein de la mère, heureusement il en a trouvé un qui s'y rapprochait presque. Ainsi il put l'élever sans trop de soucis. Il était brisé, ruiné, se noyer souvent dans l'alcool. Le seul moment où il ne buvait pas, c'était quand ses amis venaient à la maison. La petite fille restait alors dans sa chambre et jouait avec tous ses jouer qui étaient dans un sale état d'ailleurs. La soirée était simpas. Sobre, voir trop sobre. Avec pouvoir des jeux qui amusaient les autres cinq minutes mais qui après les lassaient, je veux bien sûr parler du fameux monopoli.
La jeune fille à ce moment de l'histoire a quatorze ans. Elle avait été inscrite dans une école publique, car vu les revenus de son père elle n'avait largement pas l'argent nécessaire. Qu'importe, l'école avait fermé et il fallait en trouver une nouvelle. Le père alcoolique ne prit pas longtemps pour trouver. Et ainsi je vais vous raconter son premier jour à cette école nouvelle.

Alice était dans sa salle de bain, regardant autant qu'elle pouvait son dos dans le miroir, étrangement deux boutons avaient poussé juste au-dessus de ses omoplates et la faisait souffrir atrocement. Lorsqu'elle passait son doigt sur le bouton, qui était bien plus gros qu'un bouton normal, elle sentait une chose dure au milieu de la chose. C'était aussi dur qu'un os. Étrange ? Alice ne dit rien à son père, ne voulant pas l'affoler plus qu'il n'était en ce moment. Elle prenait tout sur elle. S'habillant rapidement de son éternel uniforme Alice sortit de sa salle de bain et descendit au rez-de-chaussé, là où se trouvait son père, soit dans le salon a regardé la télé bière à la main. Elle soupira, prit son cartable et sortit dans la maison. Se dirigeant donc seule vers cette nouvelle école où elle serait paumée, accentué par son sens de l'orientation foireux. Elle marchait rapidement histoire de ne pas être en retard pour le premier jour. Mais elle ne voulait pas arriver trop vite pour pas se retrouver seule. A son grand étonnement lorsqu'elle franchit la grande porte de l'accueil les gens sautèrent presque sur Alice. Il y avait une jeune fille qui sortait du lots, quelque chose en elle lui faisait encore plus mal au... bouton ? Elle sentait quelque chose poussée en elle, c'était étrange. Elle sera les dents et essaya le plus possible de ne pas montrer qu'elle avait mal. D'ailleurs la jeune fille aux cheveux rosâtres lui avaient dit qu'elle s'appelait Sakura, c'était simple mais jolie. Alice s'appelait comme sa mère, pour la commémorer lui avait dit son père.
Alice ferma les yeux et pensa qu'elle avait a présent dix-sept ans. Un grand âge. Bientôt elle serait majeure auprès de sa grande amie, Sakura, avec qui elle partageait tout, absolument tout. Elles étaient tellement complice. La jeune fille aux cheveux noirs était au bord du vide, elle était sur le toit. Sakura lui avait demandé de venir ici pour lui parler de quelque chose d'important. Pourtant, la jeune demoiselle encore plus petite qu'Alice n'était pas encore arrivé, elle n'était jamais en retard. Il avait du se passait quelque chose de grave... La respiration d'Alice se saccada sentant son coeur se tordre. Mais la jeune fille ne tarda pas à arriver, la tête baisser. Elle cachait quelque chose de grave. Alice sauta dans les bras de sa camarade et la sera fort. Sakura pour toute réponse sourit un tout petit peu, mais repoussa bien vite Alice et sa bonne humeur. Elle prit une grande inspiration et parla la gorge nouée :
- Alice tu sais que je t'aime bien... voir plus... voir beaucoup plus. Est-ce que ça t'arrive à toi aussi ? Lorsqu'on est ensemble tes ailes te font mal ?
- Mes ailes ? Rétorqua la jeune fille, ne comprenant pas grand-chose.
La jeune fille posa un de ses doigts à l'endroit pile où se trouvait son.. bouton ? Le bouton qui avait grossit encore depuis ses années et régulièrement du sang coulait comme si quelque chose voulait percer sa peau. Alice se sentit rougir un peu.
- Alors, Alice, tu vois de quoi je parle. Est-ce ça te le fait toi aussi ?
- Oui... Dit-elle gênée.
Sakura sourit et la regarda dans les yeux d'un regard rassurant et doux comme un agneau. Le regard de Sakura quoi.
- Alice. Tu es un ange ! D'ailleurs ça m'étonne qu'elle ne soit pas encore sorties. Elles ne vont pas tarder. Dans peu de temps tu auras des ailes. Toi tu en auras.... Sakura se mordit les lèvres, c'est là qu'Alice comprit que les choses allaient se gâtait. C'était parti pour la mauvaise nouvelle. Alice prit la main de sa meilleure amie et de son regard l'encouragea tout de même à lui dire ce qu'elle avait sur le coeur.
- Alice... J'ai.. une malformation ? Les ailes à moi se sont estropiés et elles sont tombées... Et disons que ça c'est gravement infecté... J'ai plus que quelques heures à vivre, voir moins, beaucoup moins Alice.
Le visage d'Alice devient presque totalement livide. Elle déglutit avec peine. La nouvelle venait de choquer la jeune fille qui n'en revenait pas. Pour seule réponse Alice vint la serrer dans ses bras et commençait à pleurer à chaude larme.

Ainsi Sakura mourru lentement dans les bras d'Alice. Pour seul souvenir elle lui donna un arc qui servira pour son pouvoir, mais aussi se souvenir, autant qu'elle pu de la jeune fille.
Après ce terrible..accident, non se n'était pas du tout un accident. C'était ses maudits d'ailes qui lui avaient volé son ami... D'ailleurs ce n'était pas son ami, c'était son amoureuse. Mais Alice ne voulait pas se l'admettre. Quoi qu'il en soit Alice marchait désespérément vers un endroit où elle ne serait pas un monstre, où toutes ses fautes seraient pardonnées. Et qu'un jour elle pourrait retrouver l'amour, allez savoir hein ! Quoi qu'il en soit, Alice rencontra la jeune directrice. Une femme. Qui l'accepta sans rechigner. Tant mieux après tout non ?