Rp avec Lucas Taylor.

Lucas marchait d'un pas raide, fessant les cent pas en attendent son achetant. Son regard était livide, sans expression, vide et plein d'autre adjectif. Il attendit une bonne dizaine de minute quand un crissement de pneu retentit, son client, un petit homme, trapus âgé d'une quarantaine d'année arriva suivi de deux chiens fidèles, des mecs mesurant des tailles de monstres et à la carrure de king kong. Lucas s'arrêta quand l'homme arriva, avant de marcher jusqu'à une fourgonnette où il ouvrit lestement la porte pour en sortir une unique mallette noire en cuire. Il marcha avec toujours le même regard froid et arrivant juste devant l'homme il ouvrit la mallette rentrant un code secret. Dans la mallette une mitraillette, pas n'importe laquelle, la toute nouvelle. Lucas ouvrit enfin la bouche :

" - Voici la mitraillette 956, voler à une base militaire, 40 balles secondes, un vrai petit bijoux de technologie, je peux vous la vendre pour dix mille dollars, à prendre ou à laisser pas dé négociation."

L'homme parût effaré par le prix exorbitant de l'arme, mais sont visage s'effaça rapidement pour laisser place à un rictus satisfait, il la caressait du doigt. Lucas ce retenait de lui coincer le doigt dans la mallette de cuir. Le petit homme trapus claqua du doigt et les deux gorilles partir pour revenir aussitôt avec deux mallettes en cuir marrons. Il claqua une deuxième fois les deux hommes -qui était noir- ouvrèrent les mallettes en même temps et des centaines de liasse de billet était en vue. Lucas fit un sourire et dit :

" - Dois-je comprend que le marcher et conclus, je ne veux pas compter, ordonner à vos hommes de compter l'argent pour moi."

Le petit homme le regarda avec un regard de tueur et claqua une nouvelle fois du doigt. Le premier homme commença à compter et quand il eut fini le deuxième commença à son tour, lorsqu'ils eurent finis Lucas semblait satisfait, il ferma la valise et la tendit à l'homme. Les deux gorilles en fit de même Lucas pris une valise et lâcha la sienne, il prit ensuite la deuxième. Il dit :

" - Ravis d'avoir fait affaire avec vous."

Il tourna les talons et retourna à sa voiture, une magnifique porshe blanche avec la porte qui s'ouvre s'ouvre de bas en haut. Il se mit à bord, plaça l'argent sur le siège passager et il rentra doucement les clés sur le contact, la voiture fit un énorme vrombissement avant de partir en trombe. Il roulait beaucoup plus vite que la moyenne autoriser. Et quand enfin il arriva devant l'hôtel ou sa tendre Alia l'attendait. Il enleva les lunettes qu'il avait mise avant de démarrer et il plaça les deux mallettes dans un double fond de la voiture qui se situait où les passagers avant mettait leur pied. Il sort en toute grâce et monta les escaliers pour rejoindre son Alia.